Une semaine en Sardaigne du nord
- Alyssa

- il y a 1 jour
- 12 min de lecture

Vous rêvez d’un voyage mêlant road trip, soleil et plages paradisiaques ? Ne cherchez plus : la Sardaigne est la destination idéale ! Je vous emmène découvrir notre aventure, les plages sublimes que nous avons explorées et les incontournables à ne surtout pas manquer.
Quand aller en Sardaigne ?
La Sardaigne est une destination qui se savoure toute l’année, mais si vous voulez profiter pleinement de son charme, je vous conseille d’y aller entre avril et novembre. À cette période, le soleil brille généreusement et les températures sont douces. Bien sûr, juillet et août sont les mois les plus chauds… mais aussi les plus fréquentés. Pour une expérience plus paisible, privilégiez le printemps ou l’automne.
🌸 Le printemps (avril – mai)
La nature se réveille, les paysages sont verdoyants et les températures tournent autour de 24 °C. C’est la saison parfaite pour explorer les villages, les sentiers côtiers ou les routes panoramiques. L’eau peut être encore un peu fraîche, mais la lumière et la tranquillité compensent largement.
☀️ L’été (juin – août)
C’est la période phare pour profiter pleinement des plages aux eaux turquoise. Le thermomètre grimpe jusqu’à 30 °C, l’ambiance est animée, et la mer devient une véritable invitation à la baignade. Si vous aimez l’énergie estivale, c’est le moment idéal !
🍂 L’automne (septembre – novembre)
Moins de touristes, une météo encore très agréable et une mer souvent assez chaude en septembre… C’est une saison idéale pour découvrir la Sardaigne autrement. Parfait pour les randonnées, les balades en voiture ou les couchers de soleil sans la foule.
❄️ L’hiver (décembre – mars)
Avec des températures entre 10 et 15 °C, l’hiver est plus calme. Ce n’est pas la meilleure période pour profiter des plages, mais elle peut plaire à ceux qui recherchent une ambiance authentique et paisible.
Comment aller en Sardaigne ?
Pour vous rendre en Sardaigne, vous avez trois aéroports principaux. Si vous ciblez le nord de l’île, deux d’entre eux sont les plus pertinents : Olbia Costa Smeralda Airport (OLB) et Alghero‑Fertilia Airport (AHO).Nous avons choisi d’atterrir et de décoller d’Olbia, mais autre option intéressante : arriver à Olbia et repartir d’Alghero — ce qui permet de faire un trajet linéaire et d’éviter de revenir sur vos pas.
✈️ Temps de vol indicatifs
Depuis Bruxelles / Charleroi vers Olbia : environ 2h05 pour un vol direct.
Depuis Paris (Beauvais) vers Olbia : aussi environ 2h05.
💡 Astuces pour obtenir de bons tarifs
Voici quelques stratégies que vous pouvez partager dans votre blog pour aider vos lecteurs à trouver des billets “bons plans” :
Réservez à l’avance… mais pas trop tôt : pour les vols internationaux, il est souvent conseillé de surveiller les prix et d’acheter quelques mois avant.
Soyez flexible sur les jours de départ/retour : les vols en milieu de semaine (mardi, mercredi) sont souvent moins chers que les week-ends.
Utilisez des comparateurs / alerte prix : skyscanner, Google Flights, etc., permettent de repérer les baisses de tarifs et de s’abonner à des alertes.
Considérez des aéroports alternatifs ou un “multi-city” : arriver à Olbia et repartir d’Alghero peut parfois être plus économique ou plus pratique, tout en variant l’itinéraire.
Voyage hors haute saison ou en “shoulder season” : privilégiez avril/mai ou septembre/octobre plutôt que juillet/août pour éviter les foules et bénéficier de bons prix.
Ce qu’il faut savoir avant de partir en Sardaigne
La Sardaigne est une île sublime, mais elle a aussi ses petites particularités pratiques à connaître pour éviter les galères et profiter pleinement du voyage.
🚗 Stationnement et circulation
La plupart des parkings sont payants, notamment dans les centres-villes et près des plages touristiques. Pour vous simplifier la vie, je vous recommande de télécharger l’application EasyPark avant votre départ. Elle permet de payer directement depuis votre téléphone et d’ajuster la durée sans stress. Petite astuce : les zones bleues sont généralement payantes, les blanches sont gratuites (rare) et les jaunes sont réservées. Il est parfois difficile de se garer pour se rendre sur les plages, la plupart des voitures se garent le long des routes.
Côté conduite, la location de voiture est quasi indispensable si vous souhaitez explorer l’île librement. Les routes sont globalement en bon état, mais certaines portions sont étroites ou sinueuses, surtout en montagne ou sur la côte. Prenez votre temps et profitez des paysages !
🏖️ Accès aux plages
Certaines plages sont payantes et nécessitent une réservation en ligne (surtout en été). Ce système est mis en place pour protéger les sites naturels et éviter la surfréquentation. Pensez donc à réserver vos accès à l’avance pour les plages les plus populaires, comme La Pelosa à Stintino. Certaines plages n'ont pas de chemin définis pour les atteindre, vérifiez toujours sur google si c'est une plage ou une crique pour être sur de l'accès.
Bon à savoir : beaucoup de plages restent gratuites, mais il faut parfois payer le parking à proximité.
💳 Paiements et budget
La Sardaigne fait partie de la zone euro 💶. Les cartes bancaires sont acceptées presque partout, mais prévoir un peu de liquide est toujours utile, surtout dans les petits villages ou pour les parkings automatiques. Les prix varient beaucoup selon la saison : la haute saison (juillet–août) est nettement plus chère, aussi bien pour l’hébergement que pour la location de voiture.
🗣️ Langue et communication
La langue officielle est l’italien 🇮🇹, mais dans les zones touristiques, vous trouverez souvent des personnes qui parlent anglais ou même un peu français. Un petit “Buongiorno” ou “Grazie” est toujours apprécié et bien vu !
Notre itinéraire pour 1 semaine en Sardaigne
Jour 1 : l'arrivée
Nous avons atterri à l’aéroport d’Olbia, dans le nord-est de la Sardaigne. Dès notre arrivée, nous avons récupéré notre voiture de location, indispensable pour explorer l’île en toute liberté puis pris la route direction Bosa, notre toute première étape.
Bosa se situe sur la côte ouest, à l’opposé d’Olbia. Il nous a fallu environ 3 heures de route à travers les terres sardes pour l’atteindre. Le trajet est déjà une belle mise en bouche : routes vallonnées, villages pittoresques et paysages sauvages à perte de vue.
Bosa est une petite ville pleine de charme, coupée en deux par une rivière autour de laquelle s’alignent de petites maisons colorées, autrefois habitées par des pêcheurs. Une vraie carte postale !En flânant dans les ruelles, vous pourrez découvrir :
La Cathédrale de l’Immaculée Conception et l’ancienne cathédrale du diocèse de Bosa,
La rue principale “Corso Vittorio”, très agréable à parcourir,
Le Château de Malaspina, perché sur les hauteurs (entrée : 5 € / personne). La vue panoramique sur la ville et la vallée est à couper le souffle 🤍.

En fin de journée, nous avons repris la route vers Alghero, notre base pour les deux prochaines nuits. Contrairement au calme paisible de Bosa, Alghero est une ville fortifiée animée, très appréciée des voyageurs. Elle fait partie des cinq grandes villes de Sardaigne et conserve une forte influence catalane, visible dans son architecture et sa culture.
Nous avons adoré son centre historique piéton, idéal pour se promener aussi bien en journée qu’en soirée. Parmi les incontournables :
La Cathédrale de Santa Maria,
L’Église de San Michele,
L’Église de San Francesco,
Et bien sûr, une balade sur les anciens remparts qui longent la mer, offrant une superbe vue sur le coucher de soleil.
Après ce premier jour bien rempli, une petite marche le long de la mer a suffi à nous émerveiller… avant d’aller nous reposer pour attaquer la deuxième journée en pleine forme.
Jour 2 : à la découverte du parc naturel de Porto Conte
Pour cette deuxième journée en Sardaigne, nous avions envie de nature, de beaux panoramas et d’un peu d’aventure. Direction le Parc naturel régional de Porto Conte, à une quinzaine de kilomètres d’Alghero.
Nous avons garé la voiture au parking “Parcheggio Libero”, puis rejoint à pied l’Oasi naturale “Le Prigionette”. C’est ici qu’il faut s’enregistrer et payer un droit d’entrée de 9€ p.p pour accéder aux sentiers de randonnée.
Nous avons choisi un itinéraire qui grimpe à travers la montagne et autant le dire, ce n’est pas une petite balade ! La montée est raide, surtout sous le soleil, mais la vue au sommet est spectaculaire et récompense largement l’effort.
👉 Petit conseil si vous y allez en été : prenez suffisamment d’eau et partez tôt pour éviter les fortes chaleurs. Pour ceux qui préfèrent une option plus tranquille, il est également possible de monter en voiture jusqu’à un certain point, ce qui raccourcit la randonnée.

Après cette belle marche, rien de mieux qu’un peu de farniente. Nous avons repris la voiture en direction de la plage di Mugoni, une magnifique baie entourée de pins, parfaite pour une pause au calme.
Sur place, vous trouverez des transats et parasols payants, ainsi que quelques restaurants et snacks pour grignoter les pieds dans le sable. L’eau est turquoise et très agréable pour se baigner, un vrai petit coin de paradis.

En fin d’après-midi, nous avons pris la route vers le Belvédère Foradada, un point de vue impressionnant sur la mer et les falaises. De là, nous nous sommes lancés dans une petite randonnée dans les roches pour tenter de trouver la fameuse Grotte di Nettuno.
⚠️ Attention : le chemin n’est pas balisé, il faut être prudent et bien regarder où l’on met les pieds. Nous nous sommes beaucoup aidés de photos trouvées en ligne pour nous repérer.
Même si la grotte n’est pas simple à atteindre, la vue sur la mer au coucher du soleil est magique.

Pour terminer cette journée en beauté, nous sommes retournés à Alghero pour admirer le coucher de soleil sur le port. Le ciel s’est teinté d’orange et de rose, offrant un spectacle absolument superbe. Une ambiance paisible et lumineuse, parfaite pour clôturer cette deuxième journée.

Jour 3 : Une des plus belle plage de Sardaigne
C’est déjà l’heure de quitter Alghero, mais sans aucun regret… car l’aventure continue à travers la Sardaigne ! 🚗Prochaine étape : Stintino et sa plage mythique La Pelosa, considérée comme l’une des plus belles de l’île et même de Méditerranée.
Dès notre arrivée, on comprend tout de suite pourquoi cette plage est si réputée. Même sous un ciel un peu gris, la couleur de l’eau turquoise est tout simplement spectaculaire. Le sable est blanc et fin, la mer peu profonde… un vrai décor de rêve.
Mais La Pelosa est une plage protégée, ce qui implique quelques règles :
Réservation obligatoire et accès payant (3,50 € par personne) → pensez à réserver en ligne à l’avance, surtout en haute saison.
Une natte sous votre serviette est obligatoire pour protéger le sable. Vous pouvez en acheter sur place, mais les prix sont plus élevés qu’ailleurs — mieux vaut l’avoir prévue avant.
Si vous ne souhaitez pas payer, il est possible d’aller un peu plus loin, sur la plage de La Pelosetta, plus libre d’accès.
📸 Petit conseil photo : le meilleur point de vue se trouve légèrement en hauteur, près de la tour de La Pelosa.

Vers 15h, nous reprenons la route direction Castelsardo, une charmante ville médiévale perchée sur une colline dominant la mer. Notre hôtel se trouve juste en face de la falaise, avec une vue imprenable sur le château.
Une fois les valises déposées, nous partons explorer la ville à pied. Les rues pavées montent en pente douce jusqu’à la Cathédrale de Sant’Antonio Abate et son clocher emblématique. En chemin, on découvre un village pittoresque, des ruelles étroites et fleuries, de petits restaurants familiaux, des boutiques artisanales… et des points de vue magnifiques sur la mer.

Le soir, la vue depuis la terrasse de notre hôtel était magique. Le château illuminé, la mer calme et le village qui s’endort doucement… une ambiance authentique et paisible qui nous a totalement conquis.
Jour 4 : Une journée sur la lune

Nous quittons Castelsardo tôt le matin pour prendre la direction de Capo Testa, situé à l’extrême nord de la Sardaigne. Sur la route, impossible de manquer ce rocher spectaculaire en forme d’éléphant, un arrêt photo incontournable pour immortaliser ce petit clin d’œil de la nature avant de reprendre la route.
Randonnée à Capo Testa : la Valle della Luna
Nous nous sommes garés le long de la Cala Spinosa, point de départ idéal pour notre randonnée vers la Valle della Luna. Pour commencer, suivez à pied la direction de la Strada Cala Grande.
Dès les premiers pas, on se sent transporté dans un décor lunaire : d’énormes blocs de granit sculptés par des millénaires d’érosion forment un paysage unique et presque surnaturel. Une vraie merveille géologique !
Petit bonus insolite : ne soyez pas surpris si vous apercevez quelques hippies installés sous les rochers, vivant au rythme de la nature dans ce cadre sauvage.
Sur la route vers Palau, nous avons fait un court arrêt à Santa Teresa Gallura, un charmant petit village portuaire. L’endroit est mignon, mais la pluie qui a commencé à tomber nous a incités à repartir rapidement.

Arrivés à Palau, c’est ici que commence notre traversée en ferry vers l’île principale de l’archipel de La Maddalena.
Nous avons choisi Maddalena Lines, mais plusieurs compagnies proposent des départs fréquents (toutes les 20 à 60 minutes environ).
La traversée dure environ 20 minutes,
Le billet aller-retour avec la voiture coûte environ 26,40 € pour deux personnes.
Une fois débarqués, nous avons rejoint notre logement. Petit conseil : faites attention avec Google Maps ! L’application a tendance à vous faire emprunter des ruelles étroites et sinueuses qui peuvent vite devenir compliquées en voiture. Mieux vaut rester sur les routes principales pour éviter les galères (on en a fait l’expérience, cf. la photo ci-dessous, moment stress assuré 😅).
Après avoir posé nos affaires, nous sommes descendus à pied jusqu’au port pour une promenade détente. Nous avons profité de l’ambiance tranquille et dégusté une bonne glace, parfait pour finir la journée en douceur.
Jour 5 : Entre eaux turquoise et rochers sculptés
Nous commençons notre exploration de l’archipel de La Maddalena par un premier arrêt à Cala Carlotto, une charmante crique qui donne immédiatement le ton du voyage : eaux turquoise, sable doré et ambiance paisible. Cette première escale, véritable mise en bouche, nous invite déjà à la contemplation.
Nous poursuivons ensuite notre route à travers les paysages enchanteurs de l’île, enchaînant les découvertes : Spiaggia Cala d’Inferno, sauvage et impressionnante ; Bassa Trinita, avec ses vastes étendues de sable clair ; Spiaggia dello Strangolato et Spiaggia Monti d’à Rena, parfaites pour une baignade rafraîchissante ou une pause farniente. Plus loin, Spiaggia di Cala Lunga et Spiaggia di Cala Spalmatore dévoilent chacune un visage différent de La Maddalena, entre criques intimistes et panoramas grandioses.
Enfin, nous mettons le cap sur Spiaggia del Polpo, un véritable petit coin de paradis. Ses eaux cristallines et ses rochers granitiques sculptés par le vent évoquent les paysages exotiques des Seychelles, un lieu magique où le temps semble suspendu.
Avant d’y accéder, il faut laisser la voiture sur un parking et marcher une dizaine de minutes. La route est trop abîmée pour être empruntée en voiture, mais la balade en vaut la peine ! En arrivant, on découvre un rocher en forme de poulpe d’où le nom de la plage, une eau turquoise d’une clarté incroyable et un sable fin et blanc. Un décor de carte postale !

Malheureusement, le vent était de la partie ce jour-là, impossible de s’installer confortablement sur le sable. On a donc repris la route, direction l’île de Caprera, reliée à La Maddalena par un petit pont. Nous avons roulé jusqu’à l’extrémité de l’île pour admirer les paysages sauvages : routes étroites, virages serrés, mais des panoramas à couper le souffle. Peu de plages ici, surtout des criques sans parking, alors nous n’y sommes pas restés longtemps.
De retour vers le centre, une pause bien méritée s’imposait : pizza et glace au menu ! Pour finir la journée en beauté, nous avons rejoint un superbe point de vue pour admirer le coucher de soleil (code Google Maps : 69FW+2G La Maddalena, Sassari, Italie).


Jour 6 : Entre le cap D'orso et Porto Cervo

Nous avons repris le ferry assez tôt le matin pour retourner sur la côte et rejoindre le Cap d’Orso, célèbre pour son immense rocher en forme d’ours. Le site porte bien son nom : perché au sommet, le rocher domine un panorama exceptionnel sur toute la région. L’accès est payant (6 € par personne) et il faut grimper quelques escaliers pour atteindre le point de vue comptez environ 1 heure aller-retour. Là-haut, le vent soufflait fort, rendant la balade impressionnante mais parfois un peu dangereuse : mieux vaut bien se tenir !
Après cette visite, nous avons pris la route vers Porto Cervo, station balnéaire emblématique de la Costa Smeralda. On y trouve une marina élégante, des boutiques de luxe et une petite église typique. L’endroit est plutôt chic, mais pour être honnêtes, nous n’avons pas trouvé cela incontournable et ne nous y arrêterions probablement pas une seconde fois.
Nous avons ensuite poursuivi jusqu’à Olbia, dernière étape de notre roadtrip sarde. Malgré sa taille et son animation, la ville ne nous a pas particulièrement séduits. Le centre est agréable pour une courte promenade, mais le stationnement y est compliqué : les parkings sont bondés et les voitures garées un peu partout.
Jour 7 : Farniente, sable blanc et eau cristalline
Pour cette dernière journée en Sardaigne, nous avons mis le cap sur la plage de La Cinta, un véritable décor de carte postale entre eau cristalline, sable blanc et montagnes en toile de fond. À notre arrivée, la plage était déjà bien remplie, alors nous avons opté pour la location de transats afin de profiter plus confortablement de la journée. Comptez 25 € pour deux transats, un tarif assez élevé, surtout que le temps s’est rapidement couvert et que le vent s’est levé peu après. Dommage, nous n’avons pas pu en profiter aussi longtemps que prévu.

Il caille mais t'as payé ton transat donc tu restes 😂
En fin d’après-midi, nous avons fait un petit tour dans le charmant village de San Teodoro. La visite se fait facilement en une heure environ : quelques ruelles animées, des boutiques locales et une atmosphère détendue typique des villages sardes.
Nous avons ensuite regagné notre hôtel pour savourer un apéritif sur la terrasse, dernier moment de calme avant notre dernier dîner sur l’île, puis le retour prévu le lendemain matin.
Une belle façon de clore ce roadtrip sarde riche en découvertes et en paysages grandioses.



















































































































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